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Les cols bleus pourraient surveiller les bureaux du SPVM

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Les cols bleus pourraient surveiller les bureaux du SPVM Empty Les cols bleus pourraient surveiller les bureaux du SPVM

Message  Admin Dim 26 Juin - 23:59

Les cols bleus pourraient surveiller les bureaux du SPVM Moz-screenshotLes cols bleus pourraient surveiller les bureaux du SPVM Moz-screenshot-1 Les cols bleus pourraient surveiller les bureaux du SPVM 130px-10 Excédée par ses récents déboires avec des agences de sécurité privées, la Ville de Montréal envisage sérieusement de confier à ses cols bleus le gardiennage des locaux de la police, a appris La Presse.


Des discussions ont commencé avec le syndicat. Une étude a même été commandée sur la question pour savoir combien coûterait le recours aux cols bleus.
Selon des chiffres provisoires, les employés municipaux coûteraient 500 000$ de plus par année que le recours à une agence privée.
La Ville estime que cette dépense pourrait être justifiée puisque les locaux de la police ne seraient plus à la merci d'une «industrie instable».«On a des discussions avec la Ville, a expliqué le négociateur en chef du Syndicat des cols bleus regroupés de Montréal, Marc Ranger. Les gens qui assurent la sécurité à l'hôtel de ville sont des cols bleus.
Le chauffeur du maire est un col bleu. C'est certain qu'on peut s'occuper de la sécurité des bureaux du SPVM.»Le responsable de la sécurité publique au comité exécutif, Claude Trudel, a confirmé la nouvelle.
Selon lui, continuer de recourir à l'entreprise privée pour surveiller les locaux de la police «n'est peut-être pas la meilleure option».
«C'est une opinion personnelle. Compte tenu des difficultés qu'on a eues dans les dernières années, compte tenu du fait que, dans le milieu des agences privées, il y a beaucoup de changements - et là, je ne parle pas de malhonnêteté -, beaucoup de changements de propriétaire, il y a un peu d'instabilité.
D'où l'importance qu'on étudie, dans les meilleurs délais, la possibilité de confier ça aux cols bleus, qui assurent déjà la sécurité à l'hôtel de ville.»La Presse a révélé la semaine dernière que l'Unité permanente anticorruption s'intéresse aux rapports du SPVM avec des firmes de sécurité privées.
Elle a demandé au ministère des Affaires municipales de mener des vérifications. «On va collaborer à cette vérification, le SPVM et toute l'administration aussi», a insisté Claude Trudel.

Des dérapages

Dans les dernières années, le gardiennage des locaux de la police de Montréal a été confié à une série d'agences de sécurité privées.
Elles devaient surveiller trois immeubles de la police, dont le siège social, rue Saint-Urbain.
La tâche est névralgique. Les dérapages se sont pourtant multipliés. En moins de deux ans, la Ville a dû lancer trois appels d'offres. Une firme s'est notamment placée sous la protection de la Loi sur la faillite tout de suite après avoir remporté l'un d'eux, en 2009.
Une autre firme, BCIA, a entre-temps assuré la surveillance des locaux, pendant quatre ans, sans contrat en bonne et due forme.
Le conseil municipal aurait normalement dû approuver l'entente, ce qui n'a pas été fait.
Le cas de BCIA était si curieux qu'il a attiré l'attention du vérificateur général.
Dans son rapport 2010, Jacques Bergeron note qu'il n'existait aucun contrat écrit entre l'agence de sécurité et le SPVM, mais seulement une «entente verbale».
Quand BCIA a fait faillite, au printemps 2010, un appel d'offres a été lancé. La firme Sécur-Action a obtenu le contrat, puis la Ville le lui a retiré après des enquêtes de vérification du SPVM et de la SQ.

500 000$ pour la paix de l'esprit?

La Ville a finalement accordé un contrat cette semaine à la firme Bureau d'enquêtes civiles du Québec (BECQ), à l'issue d'un appel d'offres lancé en décembre. Claude Trudel explique que l'entente n'est que d'une année, ce qui laisse le temps à la Ville d'étudier une solution avec ses cols bleus.
BECQ va toucher 941 000$ pour surveiller le siège social de la police et deux autres édifices pendant un an. Selon une estimation de la Ville que nous avons obtenue, confier cette tâche aux cols bleus pourrait coûter 1 700 000$.
M. Trudel n'a pas voulu valider ce chiffre. Il a évoqué des coûts supplémentaires de 500 000$, soit un total de 1 400 000$.«Vous allez me dire que 500 000$ de plus dans un budget de 4 milliards, ce n'est pas beaucoup. Mais dans la situation financière actuelle de la Ville de Montréal, on ne peut pas rejeter le facteur coût d'un revers de main en disant que ce n'est pas important.»Claude Trudel a demandé à l'Administration de chiffrer les coûts d'un éventuel recours aux cols bleus. Il espère recevoir une réponse d'ici à l'automne. Une décision sera prise à ce moment.
Au syndicat, on estime qu'il faut jouer de prudence lorsqu'on compare les coûts. Selon Marc Ranger, une firme peut remporter un appel d'offres avec une certaine somme, puis la faire gonfler par la suite en demandant plus d'argent pour des heures supplémentaires, par exemple.
Il précise que le chiffre de 1 700 000$ est exagéré. Étant donné les événements des dernières années, le syndicat a bon espoir de convaincre la Ville de recourir à ses membres. «Avec les cols bleus, la Ville peut être sûre de notre loyauté, qu'il n'y aura pas de dépassement de coûts et de problèmes de stabilité, dit Marc Ranger. Parce que, contrairement aux agences privées, nous ne ferons pas faillite.»

Source: La presse
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